Lyriques: , 1630 (Herz­lieb­ster Je­su); tra­duc­teur in­con­nu.

Musique: Herz­lieb­ster Je­su, , 1640.


De quelle offense portes-tu la peine
Quand, au supplice, les bourreaux te traînent?
Christ, le seul juste, rachetant nos crimes,
S’offre en victime.

Il intercède jusqu’à l’agonie,
Quand on le juge, quand on le renie,
Quand on le frappe, quand on l’abandonne:
«Père, pardonne!»

Oh! saint exemple qui nous humilie!
Oh! sacrifice qui nous rend la vie!
Christ est le gage de la délivrance,
Notre espérance.

Toi qui nous sauves, qui nous rends au Père,
Que son royaume vienne sur la terre!
Qu’il s’établisse parmi ceux qui l’aiment,
Comme au ciel même!