Lyriques: , 1866 (The Church’s One Found­a­tion);.

Musique: Au­rel­ia, , 1864.


L’église universelle a pour roc Jésus-Christ;
Elle est l’oeuvre nouvelle que sa parole fit,
Habitant le ciel même, Il vint se l’attacher,
Et, par un don suprême, mourut pour la sauver!

L’église en sa prière unit à leur Sauveur
Les peuples de la terre soumis au seul Seigneur.
C’est Son Nom qu’elle acclame, Son pain, qui la nourrit;
Elle verse à toute âme l’espoir qui la guérit.

Honnie et méconnue, menant de durs combats,
Elle attend la venue de la paix ici-bas.
Contemplant par avance la fin de son tourment,
La grande délivrance, le repos permanent.

Aujourd’hui, sur la terre, elle est unie à Dieu,
Et, par un saint mystère, aux élus du saint lieu.
Rends-nous, comme eux, fidèles, et reçois-nous, Seigneur,
Dans la vie éternelle, dans l’éternel bonheur!